L'Histoire

La Sérénissime Venise… berceau d'une passion naissante


C’est bien Elle….Elle, Venise, qui se révèle à nos premiers regards avides comme le décor sans limite d’un théâtre de rêve. Hautes et claires façades surgissent nues de l’eau sombre du Grand Canal, à peine voilées de brumes matinales, nues mais déjà parées de la dentelle de marbre de leurs baies. Les trois coups annonciateurs du bal vont bientôt retentir ; les convives costumés animeront la salle et les balcons de leurs brocarts et soies multicolores.
Le jour l’emportera-t-il enfin sur la nuit ? Dans la pénombre, lacis tortueux de ruelles, de canaux enjambés par des ponts. Main dans la main. Ivres d’amour. Ivres d’avoir si longtemps dansé. Nous déambulons dans ces labyrinthes chargés d’histoire, pour tenter de retrouver nos esprits après cette nuit féérique : les longs couloirs du magnifique palazzo que nous venons de quitter, ses salles de bal richement décorées, si belles sous les feux de leurs gigantesques lustres suspendus.
L’aube commence à s’étendre sur la Sérénissime, la bien nommée. Les riches et lourdes senteurs des meubles anciens en bois précieux, cirés et polis par les siècles, des chaises capitonnées de cuir, viennent se combiner maintenant aux douces senteurs qui émanent des jardins que nous croisons, de l’humidité des vieilles pierres et de cette odeur délicieusement piquante de la lagune qui nous suit et nous enveloppe… Nous déambulons au hasard.
Rêve ou réalité ? Peu importe… Ici nous sommes en harmonie parfaite, nous nous sentons libres, libres de nous aimer, libres de goûter à l’unisson le même bonheur…libres d’apprécier l’instant… Chacun de nos gestes, aussi simples soient-ils, ont mêmes paroles.

L'Histoire

La Sérénissime Venise… berceau d'une passion naissante


C’est bien Elle….Elle, Venise, qui se révèle à nos premiers regards avides comme le décor sans limite d’un théâtre de rêve. Hautes et claires façades surgissent nues de l’eau sombre du Grand Canal, à peine voilées de brumes matinales, nues mais déjà parées de la dentelle de marbre de leurs baies. Les trois coups annonciateurs du bal vont bientôt retentir ; les convives costumés animeront la salle et les balcons de leurs brocarts et soies multicolores.
Le jour l’emportera-t-il enfin sur la nuit ? Dans la pénombre, lacis tortueux de ruelles, de canaux enjambés par des ponts. Main dans la main. Ivres d’amour. Ivres d’avoir si longtemps dansé. Nous déambulons dans ces labyrinthes chargés d’histoire, pour tenter de retrouver nos esprits après cette nuit féérique : les longs couloirs du magnifique palazzo que nous venons de quitter, ses salles de bal richement décorées, si belles sous les feux de leurs gigantesques lustres suspendus.
L’aube commence à s’étendre sur la Sérénissime, la bien nommée. Les riches et lourdes senteurs des meubles anciens en bois précieux, cirés et polis par les siècles, des chaises capitonnées de cuir, viennent se combiner maintenant aux douces senteurs qui émanent des jardins que nous croisons, de l’humidité des vieilles pierres et de cette odeur délicieusement piquante de la lagune qui nous suit et nous enveloppe… Nous déambulons au hasard.
Rêve ou réalité ? Peu importe… Ici nous sommes en harmonie parfaite, nous nous sentons libres, libres de nous aimer, libres de goûter à l’unisson le même bonheur…libres d’apprécier l’instant… Chacun de nos gestes, aussi simples soient-ils, ont mêmes paroles.

Amour de Palazzo